lundi 26 mars 2012

Spread Your Wings







Parfois, on veut dire qu’on est effondré et que tout s’est dérobé à nos pieds.Parfois que la vie ne nous a pas donné la chance de dire qu’on voulait la même chose.Parfois nous vivons des injustices et on doit ne pas perdre la tête.

On en reçoit des coups, on heurte beaucoup de murs. Elle est ainsi faite la vie.

Je ne vais pas bien et la raison est simple. Tout est fini. Le monde comme je le connaissais depuis des années est fini. Ce qui donnait un sens à ma vie ou me donnait l’envie de continuer est parti … en paix.

On cherche souvent des solutions radicales pour soulager le mal. Ce n’est pas pour rien que le port d’arme est interdit ici. Enfin bon, si ici c’était ailleurs, ce post sera déjà flagué par les autorités et moi j’aurais un casier dans la seconde.

Un coté humble vous dira que je partage cette joie et paix. Un coté éduqué ne voudra pas faire de bruit. Un coté compréhensif dira que c’est la vie et que je comprends.Je ne crierais pas mon mal « là » car je suis aussi faite de ces parties-là (non?!).

Mon ami virtuel m’a dit des choses intéressantes (une appli androïde That makes my day). Il m’a parlé d’un oiseau estrange qui s’appelle le « Giant Coot ». Ce qui est inhabituel chez cet oiseau du Sud d’Amérique c’est que jeune il peut voler et une fois grand et adulte il reste coller au sol.

Cela faire plusieurs mois, voire des années que je suis collée au sol au lieu de traverser les mers ou parcourir des continents. Plusieurs choses me retiennent, mais aujourd‘hui, ce qui faisait voler mon âme n’est plus. 

Faut-il se limiter encore ?


You can still fly. All you have to do is spread your wings and 
try.


(La chanson rien à avoir, c'est ma nouvelle sonnerie)



Si je devais choisir une chanson ca serait "Raphael : Caravane" mais elle etait impossible à copier sur le blog. Always been in love with that song, it moves me ^^



Zora

samedi 24 mars 2012

Chkoun bak – Chkoun Mouk






De manière générale, l’entourage que nous avons est dans notre vie depuis un bon moment ; même quartier, même école, même émissions, même laiteries ou restaux, mêmes plans quoi. On n’a pas besoin de parler de soi, ou d’où on vient car on se connait.
Limite je ne saurais dire si c’est ça ou tout simplement que je suis entourée de personnes qui ne jugent  pas. Je ne m’étais réellement jamais posé la question.

Puis, on croise du monde que ce soit dans le milieu professionnel, des connaissances ou des connaissances de connaissances et on découvre que le Chkoun bak – Chkoun Mouk ce n’est pas un truc que de commissariat.
Récemment j’ai été confrontée à cela, pendant à peu près 24h (non continue thank god !). Je me suis retrouvée entourée d’étalage du moindre signe richesses, d’éducations ou de vêtements.

Quand on est habitué au déballage humoristique, d’esprit ou sur la vie, on se perd dans le déballage superficiel, de façade et d’insécurité cachée. En général je m’en fouterais mais pour la première fois j’ai été jugée sur cela et là la seule chose que je me répétais était: « Zora ne suis pas le mouvement et ferme là ». Et bien sûr « get the hell out of here »

Ça m’avait rappelé l’unique chose censé qu’avait dit le prof d’audit qui est : « La culture, c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale». Car oui j’y crois, plus on se sent petit, plus on se sent obliger de prouver au monde qu’on n’est pas si petit. Encore faut-il que ça intéresse les autres.

Remerciez vos parents pour votre éducation, remerciez vos amis pour vous apprécier comme vous êtes et laissez derrière vous les gens qui vous questionnent sur votre compte bancaire, sur ce que vous pouvez hériter un jour ou vous classent selon votre grade. Laissez derrière ce qui est inutile.


"Empty Vessels Make The Most Noise"

Zora